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« Une enchanteresse ! » La Reppublica 

« Une grâce et une présence remarquable sur scène… Une prestation étonnante au cours d’un concert de haute tenue… Un moment suspendu dans le temps… » Frédéric Migliaccio – La Montagne

« De l’écoute d’Ameylia découle une fascination irrésistible. » Les concerts de la Triennale

« Je ne peux décrire l’art et la musicalité d’Ameylia Saad Wu que par le terme anglais crossover! » Guido Facchini, compositeur

« Ameylia Saad Wu joue à la croisée des chemins, entre reprises du patrimoine et créations propres. Sa harpe est celtique quand elle s’éprend de thèmes irlandais, puis devient musique de cour impériale chinoise. On y décèle aussi la formation musique classique de la musicienne, attentive aux beautés, aux miracles de la nature qu’elle magnifie dans un lyrisme charmeur. »
Dominique Dupeyron – Akhaba

« De l’Orient à l’Occident, sans oublier de passer par l’océan Indien où Ameylia Saad Wu a vu le jour…. De l’Antiquité au 21ème siècle…C’est à un véritable voyage dans l’espace et dans le temps que nous invite généreusement le trio Keynoad sans que cette multiplicité d’origines et de cultures qui l’inspirent puissent dérouter l’auditeur. Il faut dire que tout cela est relié avec classe et grâce par une voix aérienne et envoûtante et des instrumentistes de haut vol à la précision d’orfèvres…Embarquement immédiat ! » 
Alain Courbis – Runmusik

ApérOpéra, avec le pianiste Vladik Polionov, Festival Durance Lubéron

« Ameylia Saad Wu dans un programme éclectique et ambitieux dessinait un joli panorama du chant lyrique, de Mozart à Bernstein en passant par Verdi, Bellini, Delibes. Elle partagea les atermoiements passionnés d’Aspasia de Mitridate, re di Ponto, « Nel sen mi palpita », puis de Violetta de La Traviata dans le célèbre « Ah, fors’è lui…Sempre libera » avec un beau contre mi bémol. Véritable actrice, c’est avec humour que la jeune artiste endosse les rôles d’Amina de la Somnambule de Bellini, « Ah non credea mirarti » ou plus encore la volage Cunégonde du Candide de Bernstein, « Glitter and be gay ». On savoure encore les derniers parfums de l’été que le festival a une fois de plus enchanté. » 
Maryvonne Colombani – Zibeline

Album « Moires et Mouvances, Trio Keynoad

« (…) Le registre vocal d’Ameylia Saad Wu, éternelle sirène, trouve son éclat dans certains passages méditatifs et superbes, comme « Halo » où elle est soutenue par un yan qin (percussion chinoise). Les moments magiques ne manquent pas, dans les chansons mais aussi dans les développements purement instrumentaux. Certaines danses n’hésitent pas à revêtir un groove jazz, presque funk, et qui pourtant sonne si proche de la tradition… L’une des plus grandes réussites de l’opus est « Les Palmes du Sahara », véritable épopée où l’unité des musiciens repose sur un certain minimalisme, grâce à des tambours duff et des accords de saz (Turquie) non moins fiévreux.
En bref, tels des conteurs actuels respectant la tradition, le TRIO KEYNOAD nous propose une véritable expérience qui va chercher au-delà du simple exotisme cher à la culture occidentale. La richesse de Moires et Mouvances, ses arrangements ciselés, sa durée fleuve nous convient gracieusement à y revenir autant que possible, à redécouvrir certains chapitres. C’est une œuvre pleine de séduction, hautement recommandée. »  
Marco Stivell – Forces parallèles / Nightfall

« La musique d’Ameylia Saad wu est à l’image de l’artiste, hybride, métissée, mystique, planante, extrèmement travaillée, plus réfléchie encore… »
Nadia Thigidet – La Provence

 « Ameylia Saad Wu se distingue par son interprétation académique et artistique réflétant une formation multi-culturelle et un esprit universel. »
Prof. Youssef Tannous, Doyen de l’Université USEK de Kaslik (Liban) – L’Orient le Jour

« Compositrice exigeante, chacune de ses pièces vibre d’un souffle oscillant entre classicisme et modernité et, il y a chez elle une réelle grâce d’exécution qui rend chaque prestation captivante. Comme un délicieux chuchotement qui transporte de bonheur. Une musique métissée en parfaite résonnance avec cette créatrice… Ameylia Saad Wu porte en elle l’authenticité, la sensibilité, la générosité, la maîtrise dont on tisse l’étoffe qui fait les grandes interprètes et que couronne de surcroit une surprenante maturité intellectuelle. » 
Alain Junot – Le Journal de l’Ile de La Réunion

«Harpiste de talent, ses compositions sont un merveilleux voyage au pays du métissage et de l’hybridation. Influences de la musique savante contemporaine, slow airs, morceaux tout à fait inclassables, tout y est ! C’est sa musique à elle, ces cercles dans lesquels elle nous invite à la danse, quelque chose de très personnel et de très universel à la fois. Bref une belle découverte ! Pose comme une nouvelle référence ! » 
Morgan Rozier- Keltia Magazine

Sujet trio Keynoad, concert « Moires et Mouvances »:

« Une voix et une harpe puissantes, bien entourées par un percussionniste plein d’énergie et un magicien de l’archet qui caresse avec subtilité des violons orientaux. Tout cela sonne à merveille et met superbement en musique les textes très prenants de Michel Saad… »

Sujet « The dreamer’s dances »:

« Une musique parfois un peu difficile, mais la voix fait passer l’émotion, et la « Mélusine » déploie toute sa richesse sonore, ses basses impressionnantes, ses aiguës cristallines…

Ameylia passe d’une poigne vigoureuse à la douceur même, pour explorer toute la poésie et la nostalgie de ces « standards » celtiques et autres, dans des arragements originaux et quelque peu contemporains.

J’ai beaucoup aimé en particulier son « Dances cycle », savante broderie de danses, mêlées, tissées ensemble, rehaussées d’accords audacieux, d’harmoniques recherchées, de rythmes complexes, de silences… Un très beau CD ! » 
Didier Saimpaul – Harpes Mag

« Un magnifique premier album qui permet à Ameylia de laisser sa première grande trace discographique dans le monde de la harpe celtique, conjuguant intimité, suavité et originalité. » 
Marco Stivell – Forces Parallèles / Nightfall

« Il existe un « précieux » au naturel: les perles, les fleurs, les papillons, le chant des oiseaux, l’eau vive. Ameylia Saad Wu est de cette eau-là. Coule sa voix de soprano colorature. Dansent ses mains sur la harpe! » 
Gérard Martin – Côte Magazine, édition spéciale « So Precious! »

« Son style est moderne, son look élaboré, sa voix grandiose. La jeune femme respire la musique. Une belle énergie transpire de son univers. Chanteuse lyrique, elle explore l’univers de l’opéra sans s’imposer de contraintes ». 
Florence Labache – Le Quotidien de La Réunion